La congrégation des Saints Anges

La congrégation des Saints Anges est fondée en 1831 à Lons-le-Saunier (Jura) par Barbe Elise Poux. Dès son arrivée à Mâcon en 1844, la Fondatrice, enseignante de formation, s’installe dans les locaux des Jacobins (site actuel rue de la préfecture) et crée une école destinée aux jeunes filles des milieux aisés.

La congrégation des Saints Anges se développe d’abord dans le Jura, berceau de la Fondatrice, pour se répandre jusqu’au Brésil en 1893 où se trouve aujourd’hui la maison mère. Elle compte actuellement une vingtaine d’établissements dont deux en France : Mâcon (Saône et Loire) et Poligny. L’éducation des jeunes reste prioritaire, surtout au Brésil. Leurs activités sont surtout centrées autour de l’accueil, car « Aimer et Servir » est leur devise depuis leur fondation.

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Dans l’intention de demander des vocations pour le diocèse de Saint-Claude, la Communauté des Saints Anges à Poligny accueille, dans son Oratoire, au 1° étage, pour prier et adorer Jésus en son Saint-Sacrement, du lundi au vendredi entre 9h et 11h.
Sr Patricia est membre du Sem (Service Evangile des malades). Comme les autres membres, elle se rend disponible pour passer des moments d’écoute et de partage avec les personnes seules pour apporter la communion à domicile et / ou à l’Ehpad.
Sr Josinès est disponible pour des personnes qui ont besoin d’échanger et de discerner.
Avec des membres de la Fraternité des Missionnaires Diocésains, elle accueille les lycéens à la salle Carlo Accutis, 8 rue du collège, pour des moments de discussions, goûter, partage d’un texte biblique. Tous les mercredis de 14h à 16h30. Et également une fois par mois, soirée-partage de 18h30 à 21h.
Elle est présente régulièrement dans les écoles et collèges catholiques de Poligny, Arbois, Salins, et participe à la catéchèse primaire sur les paroisses du doyenné.

Contacter les soeurs à Poligny : communautedessaintsanges@gmail.com

Qui est barbe Elise Poux, la fondatrice ?

Barbe Elise Poux née le 24 octobre 1797 à Planches-en-Montagne (Jura). Décédée le 22 décembre 1855 à Mâcon (Saône et Loire).   Celle qui est presque une sainte au Brésil, sera peut-être un jour béatifiée

Article paru dans "Le Progrès" le 24 août 2024